FAIT D'ASILE CHEZ FEDASIL


Des faits d'une intense gravité se sont produits à Jodoigne.

Un jeune de 18 ans qui jouait au ping-pong en a poignardé un autre, âgé de 16 ans, qui se trouvait lui aussi dans la salle de jeu du centre Fedasil.

Ce genre de fait, s'il n'est pas courant, se généralise et ne nous étonne pas, ne nous choque même plus.

Un petit rappel s'impose donc. Le centre Fedasil (2 centres dans le BW) a pour vocation d'aider les demandeurs d'asile et les réfugiés.

Il est bien normal d'aider des gens qui sont - théoriquement - en danger dans leur pays mais, ne rêvons pas : ces réfugiés n'ont plus rien à voir avec ceux d'il y a 20 ou 30 ans.

La plupart de ces réfugiés ne sont que des migrants économiques n'ayant aucune formation, une culture très différente de la nôtre et, surtout, quasiment aucune volonté de s'intégrer.

D'aileurs, c'est bien simple, on ne leur demande même pas de s'intégrer !

Les intervenants sociaux font semblant de croire leurs récits, appris par cœur, qui leur permettront de rester en Belgique.

Un exemple, dans les centres Fedasil, ils reçoivent : gîte, couvert, accompagnement social individualisé, accompagnement juridique, interprète, soins médicaux et psychologiques, enseignement, formations - tout cela gratuitement.

N'oublions pas leur argent de poche, etc. La seule tâche au service de la communauté qui leur est proposée, mais non obligée, est le nettoyage des communs du centre où ils vivent. Pour ce faire ils reçoivent.., une brosse ? Non, de l'argent.

Il ne s'agit donc pas d'un service alors qu'il est présenté comme tel !

En fait, il est très clair que la prise en charge de ces gens est très naïve de notre part.

Il est complètement décalé de considérer ces gens comme des réfugiés politiques.

La plupart de ces "réfugiés" sont des gens bien, mais que l'on forme à devenir des assistés.

On ne leur demande rien et on leur donne tout.

La conséquence ? Des personnes qui sombrent dans l'oisiveté et/ou la criminalité.

Des faits de violences graves, comme en témoigne ce malheureux fait d'asile chez Fedasil...

Réveillons-nous !