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MOLENBEEK LE TERRORISME SOCIALISTE EST EN PLACE

MOLENBEEK LE TERRORISME SOCIALISTE EST EN PLACE


A son inauguration, le vendredi 7 décembre au soir, le Marché de Noël de Molenbeek accueillait une partie de la mafia socialiste, très inspirée par le sabotage du travail de la nouvelle bourgmestre, Françoise Schepmans. Nous avons vu d'ex-"hommes forts" de la commune aller de chalet en chalet annonçant qu'avec l'arrivée de Schepmans, les emplacements ne seraient plus mis gratuitement à la disposition des exposants. Mensonge, évidemment, mais comme le disait Goebels, cité complaisamment par Moureaux : "Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose". Il faut cependant reconnaître que la chute de Moureaux et de ses sbires a libéré la parole dans cette commune, salopée pendant 20 ans. Ainsi, lors de la prestation de serment des nouveaux échevins, dans la grange du château du Karreveld, le successeur autoproclamé de Moureaux, Jamal lkazban (qui devrait aller chercher du boulot à Gaza, qu'il aime tant), cracha son fiel contre la nouvelle majorité. Mal lui en prit car il fut hué à chaque fois, y compris par une partie des maghrébins présents. Il avait pourtant amené tous ses fidèles : barbus, voilées, ultragauchistes du PTB+ et autres débarqués du pouvoir, mobilisés pour gâcher la cérémonie. La population molenbeekoise, que les socialistes nous préten-daient heureuse comme des Islandais en Islande, célébrerait-elle sa libération de l'occupation étrangère ? Moureaux n'était pas molenbeekois, et ses fidèles ne possédaient guère de racines du côté de la rue du Niveau... Mais Jamal Ikazban a amplement démontré comment il envisageait l'opposition au conseil communal et combien il respectait religieusement la démocrassie.

20-12-2012

FAIT D'ASILE CHEZ FEDASIL

FAIT D'ASILE CHEZ FEDASIL


Des faits d'une intense gravité se sont produits à Jodoigne.

Un jeune de 18 ans qui jouait au ping-pong en a poignardé un autre, âgé de 16 ans, qui se trouvait lui aussi dans la salle de jeu du centre Fedasil.

Ce genre de fait, s'il n'est pas courant, se généralise et ne nous étonne pas, ne nous choque même plus.

Un petit rappel s'impose donc. Le centre Fedasil (2 centres dans le BW) a pour vocation d'aider les demandeurs d'asile et les réfugiés.

Il est bien normal d'aider des gens qui sont - théoriquement - en danger dans leur pays mais, ne rêvons pas : ces réfugiés n'ont plus rien à voir avec ceux d'il y a 20 ou 30 ans.

La plupart de ces réfugiés ne sont que des migrants économiques n'ayant aucune formation, une culture très différente de la nôtre et, surtout, quasiment aucune volonté de s'intégrer.

D'aileurs, c'est bien simple, on ne leur demande même pas de s'intégrer !

Les intervenants sociaux font semblant de croire leurs récits, appris par cœur, qui leur permettront de rester en Belgique.

Un exemple, dans les centres Fedasil, ils reçoivent : gîte, couvert, accompagnement social individualisé, accompagnement juridique, interprète, soins médicaux et psychologiques, enseignement, formations - tout cela gratuitement.

N'oublions pas leur argent de poche, etc. La seule tâche au service de la communauté qui leur est proposée, mais non obligée, est le nettoyage des communs du centre où ils vivent. Pour ce faire ils reçoivent.., une brosse ? Non, de l'argent.

Il ne s'agit donc pas d'un service alors qu'il est présenté comme tel !

En fait, il est très clair que la prise en charge de ces gens est très naïve de notre part.

Il est complètement décalé de considérer ces gens comme des réfugiés politiques.

La plupart de ces "réfugiés" sont des gens bien, mais que l'on forme à devenir des assistés.

On ne leur demande rien et on leur donne tout.

La conséquence ? Des personnes qui sombrent dans l'oisiveté et/ou la criminalité.

Des faits de violences graves, comme en témoigne ce malheureux fait d'asile chez Fedasil...

Réveillons-nous !