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Chômage : ces glandeurs que nous payons à glander

Chômage : ces glandeurs que nous payons à glander.




Nous le proclamons depuis longtemps : le chômage ruine l'économie belge. "Populisme", "islamophobie", "presse de caniveau" sont les insultes les plus délicates que cela nous a valu de la part des médias subsidiés et d'une partie du monde politique — sans compter les asbl, qui elles aussi (elles sont 20.000 en Belgique et coûtent 2 milliards d'euros par an) plombent les comptes de l'Etat, à tous les niveaux (fédéral, régional, communautaire etc.).

Le bureau de recherche Idea Consult, qui n'est pas une officine d'extrême-droite ou populiste, vient de nous donner raison, au travers de chiffres sans appel. Un chômeur belge coûte 33.443 euros par an. C'est 16% de plus qu'en France, 33 % de plus qu'en Allemagne et... 85 % de plus qu'en Grande-Bretagne, où le chômeur coûte 18.008 euros !

Dans ce chiffre belge hallucinant, il faut distinguer les allocations moyennes (9.493 euros) et le manque à gagner pour l'Etat (impôts, cotisations, etc) que représente le chômeur, soit 23.950 euros — une preuve de plus que le travail est imposé de manière démentielle dans notre belle démocrassie.

Entendons-nous bien : il ne s'agit pas de fustiger l'ensemble des chômeurs. Un travailleur perdant son emploi à la suite de faillite ou de délocalisation ou de "restructurations" mérite tout notre respect, surtout s'il a travaillé pendant des dizaines d'années, réalisant son boulot avec coeur et expertise.

Mais il y a les autres... Les glandeurs.

Ceux qui n'ont pratiquement jamais travaillé et ont fait du chômage leur profession. En Région bruxelloise, il est établi que l'immigration maghrébine et turque se compose de plus de 50 % de personnes disposant seulement d'un certificat d'école primaire (chiffres déclarés par le gouvernement bruxellois). Parmi eux, 11 % ne parlent même pas une des langues nationales, et 4% sont analphabètes.

C'est-à-dire que 50 % de ces immigrés ne sont pas aptes à jamais trouver un boulot dans une capitale où on a un urgent besoin de travailleurs qualifiés. Est-il normal que l'on voie traîner en rue des barbus en djellabah ou accoutrements pakistanais, qui ne travaillent pas mais se retrouvent pourtant émarger aux allocations de chômage, augmentées éventuellement d'indemnités pour accident de... travail et nantis d'un logement social ? Est-il normal de voir devant les bureaux de chômage s'aligner (en double et triple file I) des bagnoles plus chères que les 33.443 euros que coûte annuellement un chômeur ?

Est-il normal de découvrir des cohortes de voilées déambuler dans les rues ou prendre le café chez Ikea, parfaitement capables de travailler et en plus, ravies d'éviter cette corvée, sur ordre de leurs maris, qui ne veulent pas voir leurs épouses côtoyer des chiens d'infidèles. Des femmes, attachées au port du voile, persuadées de ne jamais être engagées. Des femmes qui n'ont jamais cotisé à la sécurité sociale, mais en profitent à fond. Car il s'agit bien là de profit.

Alors que l'on rabote les pensions de ceux qui ont cotisé toute leur vie ; alors qu'on leur supprime cet "intolérable avantage" que représente la gratuité dans les transports en commun (sauf pour les voilées de plus de 65 ans, éternelles victimes, éternelles détentrices de "revenus modestes"), la Belgique entretient une armée de glandeurs et de glandeuses.

Cette absurdité résulte de calculs PoliticienS. Le PS, accompagné du CDH et d'Ecolo, ont beaucoup tablé sur le potentiel électoral que représentait, d'après eux, ce prolétariat allochtone. Grâce au PS, on a fait venir et accepté des gens qui ne travailleraient jamais ou seulement dans des emplois précaires et très subalternes, mais dont le mécontentement et la désillusion seraient, selon les imbéciles comme Philippe Moureaux, un réservoir d'électeurs pour le"parti du peuple".

Las ! Comme toujours, Moureaux s'est fourré le doigt dans Ses ouailles d'Oujda, dont le taux de chômage, entre 18 et 65 ans, atteint les 59,32% (chiffres au ler janvier 2011), votent pour la liste Islam. Et ne recherchent pas de travail. En attendant le jihad final. C'est glandiose !


07-02-2013

VOILE OU PAS VOILE ?

VOILE OU PAS VOILE ?



Avec la rentrée des classes réapparaissent les faux problèmes. Plutôt que de s'occuper du financement des écoles, nos instances en attente d'élection (mais elles vous jureront, main sur le porte-feuille, que les élections, c'est un détail mesquin) focalisent leurs énergies sur des problèmes aussi fondamentaux que "voile ou pas voile à l'école ?". Il convient de flatter le vote musulman (celui qui n'existe officiellement pas) et de militer pour "La Liberté", "La Diversité", "Le Respect", avec des tonnes de majuscules. Vous souvenez-vous de Nabela Benaïssa, la grande soeur de la petite Loubna, assassinée par Patrick Derochette, en 1992 ? Que nous l'a-t-on pas exhibée, tout voile dehors, la citant en exemple de ces "beurettes" moralisantes. A peine si on ne nous faisait pas croire que sans le voile, pas d'issue pour notre société décadente. Gare à celui ou celle qui osait émettre de simples réserves sur le port du voile islamique.

Et, aujourd'hui, le Centre pour l'Egalité des Chances traque ceux qui insinuent que certaines dames portent le voile afin de ne pas devoir travailler. Le Centre préfère incriminer les employeurs refusant les voilées que faire comprendre à ces dernières que le voile est un signe de soumission à l'arbitraire masculin et, par-là, l'allégeance à un courant religieux qui vomit la civilisation occidentale - mis à part les allocations et les avantages pécuniaires de la sécurité sociale.

Aujourd'hui, Nabela Benaïssa est avocate aux Etats-Unis. Et elle a tombé le voile. Pas folle ! Nous ignorons si elle se sent toujours une excellente musulmane, mais si c'est le cas, elle vit sa religion sans voile. Et sans emmerder son entourage.

13-09-2012

Trois petits tours et elle lève le voile

Trois petits tours et elle lève le voile



La représentante en judo pour l'Arabie saoudite avait beaucoup criaillé afin de pouvoir se produire voilée. Elle s'est donc présentée aux qualifications, face à une Jamaïcaine. Il a fallu environ une minute pour que la fille d'Allah atterrisse au sol, dans un mémorable "bardaf !" qui fit trembler le sol de Londres et les vieux Londoniens, qui pensaient qu'Hitler était revenu bombarder leur ville.

Il faut savoir qu'a côté de cette élégante fille du désert, notre Maggie De Block paraît un peu fluette. Mais on retiendra donc que le voile ne permet pas de s'improviser judoka, ni de rendre légère une dondon née dans le sable et enrichie par le pétrole. Ni de remporter de médaille aux Jeux Olympiques : pas une seule voilée ne s'est hissée sur le podium. Sans vouloir allumer de polémique, contentons-nous de relever que le voile islamique ne permet pas non plus d'engranger de Prix Nobel en chimie, en biologie, en physique, en médecine, en économie ou en mathématique. On compte sur les doigts d'une main (et encore : celle d'un grand invalide de guerre) les prix Nobel décrochés par les Arabes. Allah est-il mort ?


14-08-2012

PAN INVESTIGATION PAS INTÉGRÉS LES MUSULMANS ? "C'EST TOUT LE CONTRAIRE"

PAN INVESTIGATION PAS INTÉGRÉS LES MUSULMANS ? "C'EST TOUT LE CONTRAIRE"



Une fois n'est pas coutume, j'ai décidé de reprendre textuellement le titre d'un article du Swâr en date du 22 juin 2012. Cet article relaie et fait "l'analyse" d'une étude commanditée par la Commission Européenne sur les valeurs qui unissent ou qui séparent les musulmans et les non-musulmans dans six pays d'Europe, dont la Belgique. Le résultat de cette étude, appelée Eurislam, ne fait aucun doute, selon le Swâr : les musulmans de Belgique sont en très grande majorité fiers d'être Belges... Enfin, c'est-à-dire, une majorité plutôt relative. Si 56% des musulmans d'origine marocaine sont fiers d'être Belges, chez les musulmans d'origine turque, ils ne sont plus que 24%... Ca fait quand même 44% des Belges musulmans d'origine marocaine qui ne sont pas fiers d'être Belges. Et que penser des 76% des Belges musulmans d'origine turque qui ne sont pas fiers de la nationalité qui leur est offerte et de tous les avantages qui "vont avec" ? Je me suis donc interrogé sur cette "Intégration" dont parle le Swâr et me suis rendu dans plusieurs quartiers bruxellois à forte majorité musulmane : Anderlecht, Schaerbeek et Saint-Josse. J'ai rencontré des commerçants installés là depuis plusieurs années ou décennies. Des Belges d'origine et non musulmans. Et je leur ai demandé ce qu'ils pensaient de cette étude et de la "cohabitation". Une fois la crainte de parler écartée après la garantie que leur nom ou celui de leur commerce ne seraient pas cités, j'ai entendu une histoire hallucinante, à plusieurs reprises, toujours la même !

Récit.
Les commerçants reçoivent une cliente portant le voile. Celle-ci achète ou se fait faire des services (coiffeur ou centre d'esthétique) pour un montant dépassant les 100€ ! Lorsque le commerçant ne dispose pas de terminal de paiement, la "cliente" feint de ne pas avoir de liquide sur elle, juste une carte de paiement. Elle se propose donc d'aller chercher de l'argent au distributeur le plus proche. En gage de sa bonne foi, elle laisse son sac à main au commerçant... et ne revient jamais ! Le commerçant ouvre alors le sac (qui n'a aucune valeur) et trouve dans celui-ci un CD reprenant des extraits du Coran ou bien des pages du livre "saint". Selon les commerçants, cette pratique est connue des policiers. Ceux-ci expliquent que cette pratique est une provocation pour faire comprendre aux non musulmans qu'ils ne sont plus les bienvenus dans ces quartiers devenus islamiques. Car leur objectif c'est d'avoir des terres musulmanes chez nous. J'ai également tenté de savoir si cette pratique était limitée à Bruxelles, et j'ai eu la confirmation que les mêmes provocations se sont produites dans certains quartiers d'Anvers. Je confirme donc bien le résultat de l'enquête de la Commission Européenne. Une grande majorité des musulmans de Belgique est parfaitement bien intégrée... Ils sont intégrés à leurs quartiers qu'ils tentent de contrôler et à leurs coutumes!

Max Loiseau


05-07-2012