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Printemps belge : les islamistes sont déjà au pouvoir - 21 mars 2013

Printemps belge : les islamistes sont déjà au pouvoir - 21 mars 2013




Voici le texte de la Une du journal du 21 mars 2013 :


Printemps belge : les islamistes sont déjà au pouvoir



MOLENBEEK : LES RATS QUITTENT LE NAVIRE

MOLENBEEK : LES RATS QUITTENT LE NAVIRE



Molenbeek, c'était leur passion. Disaient-ils. Tant qu'ils étaient au pouvoir. Rejetés dans l'opposition, privés des fromages qu'ils avaient eux-mêmes créés à leur seul profit, les socialistes se sentent soudainement moins "passionnés".

Ainsi Philippe Moureaux se renseigne discrètement pour trouver un repreneur de son appartement-prétexte de la rue Martin Pfeiffer, l'adresse qui permettait à ce grand pro-priétaire terrien de faire croire aux gogos qu'il habitait Molenbeek.

C'est aussi le tour à Christian Magerus, ancien président du CPAS et traître à la cause des personnes âgées placées dans les maisons de repos de la commune, de quitter Molenbeek. Encore un passionné qui ne résiste pas à la perte de ses...31 mandats (!) et, surtout, ceux qui étaient rémunérés.

Dorénavant, il veut se consacrer à la Région. Molenbeek ? Foert ! Si les mandats ne rapportent plus de liards, ce n'est plus qu'une commune de merde qu'il convient de quitter au plus vite.

L'incompétent Magerus a même renoncé à la présidence, du PS local. Qui est revenue à une apparatchik, 100% lasagne avec viande cheval : Paulette Piquard. Elue avec 82 % des voix par sa section, elle réalise un score quasi stalinien, en dépit des sérieuses inimitiés que son ascension inattendue lui a valu... Dans l'affaire, elle perd au moins 2 des 8 mandats qu'elle détenait jusqu'ici.


Ubu-Pan du 21-03-2013

MOUREAUX SÉVIT ENCORE

MOUREAUX SÉVIT ENCORE



Débarqué de Molenbeek, on espérait qu'il cesserait de nuire. Eh bien non, il nous em-merdera (rien à voir avec notre écho sur les chevaux de trait) jusqu'à la mort.

Philippe Moureaux aurait obtenu, via une énième commission, de transférer certaines compétences des communes (notemment, la mobilité) à la Région bruxelloise. "Plus de pouvoir et plus d'argent à la Région" siffle-t-il en remuant sa langue fourchue.

Comme si c'était une victoire. Les partis flamands réclamaient ça depuis des années. Et trouvaient à chaque fois le bourguemaître de Molenbeek, un certain Moureaux Philippe, défendant "ses" attributions au nom de "sa" commune.

Et il y tenait, à ses prérogatives, l'ayatollah qui fit voter des subsides au culte musulman dès 2002 dans "sa" commune. Surtout que ça embêtait son "camarade" Picqué, à la Région.

A présent que ce dernier se retire et est rem-placé par Rudy Vervoort, dit "la lavette à Moureaux", voilà l'ex-communaliste converti au régionalisme.

Accessoirement, cela montre que Moureaux, le démolisseur de la Belgique, compte bien conserver le pouvoir, son suppositoire préféré, tout en restant dans l'ombre. Vervoort sera chargé d'appliquer les diktats de l'ayatollah - il n'est, du reste, bon qu'à cela et à placer sa petite famille aux postes qui rapportent des liards.

Seul espoir : les dossiers embêtants qui commencent à sortir des armoires de la maison communale de Molenbeek. Notamment, celui du FC Brussels (voir page 6 ) où, malgré tous ses efforts pour rejeter la responsabilité sur les autres, Moureaux est plongé jusqu'au cou.

Chassé comme un malpropre, il n'a pas eu le temps "d'arranger" cette affaire au mieux de ses propres intérêts. On se réjouit des emmerdes qui l'attendent !


Ubu-Pan du 21-03-2013

Printemps belge : les islamistes sont déjà au pouvoir

Printemps belge : les islamistes sont déjà au pouvoir



Titre à sensation ? Islamophobie ? Pas le moins du monde. Et nous le prouvons. Il suffit de considérer les faits. Et de ne pas se laisser endormir par le discours politiquement correct.


Le malaise a éclaté au grand jour avec l'information, diffusée par la Sûreté de l'Etat, selon laquelle plus de 70 jeunes Belges se battraient dans les rangs islamistes en Syrie. Officiellement, ils font partie d'une "opposition" à Bachar El-Assad, mais tout le monde sait maintenant que ces "libérateurs" ont un agenda caché : le retour au califat islamique, unifiant le Moyen Orient.

Les jeunes têtes brûlées gravitaient dans la mouvance de Sharia4Belgium et du Centre Islamique Belge, dominé par le cheikh Bassam Ayachi, son fils biologique, Abdel Rahman et son "fils" spirituel, Raphaël Gendron.

Jusque-là, il s'agit d'une affaire que ne maîtrisent pas les polices belges, mais elle vient de prendre une toute autre dimension.

Le député bruxellois, Fouad Ahidar (SP.a), vient d'apporter son soutien aux trois terroristes (ils ont été condamnés et emprisonnés en Italie), sans que cela ne soulève la moindre objection dans les rangs du parlement bruxellois. Mieux : Fouad Ahidar a publié sur sa page Facebook une photo montrant Abdel Rahman Ayachi posant fièrement, une arme lourde à la main. "Les masques tombent", selon l'expression en vogue, ces derniers temps...

Il n'en n'est pas à son coup d'essai : en 2011, on découvrait qu'il avait lancé officiellement une recherche de fonds pour la construction d'une mosquée (il y en avait déjà 156 en Région bruxelloise — chiffres de 2011), à Jette. Cela durait depuis 4 ans, et personne ne s'en était inquiété.

On voit que cet élu SP.a confond allègrement le monde de la politique et la religion. Séparation de l'Eglise et de l'Etat ? Connaît pas — comme dans les pays musulmans les plus retardataires et anti-démocratiques. Mais cela ne choque, ni son parti, ni Hervé Doyen, le bourgmestre CDH de Jette.

Il faut reconnaître qu'Ahidar s'est donné beaucoup de mal pour faire passer son islamisme dans la politique belge : depuis 1997, il navigue entre les partis : ID21, Volksunie, Spirit, SP.a, et nulle part, on n'a enregistré d'indignation à l'égard de ses convictions islamiques. Par exemple, en 2005, il a convoqué une conférence de presse pour marquer son opposition à la proposition de loi en faveur de l'adoption d'enfants par des personnes du même sexe. Il sera pétitionnaire d'une manifestation anti "adoption" — en totale contradiction avec le programme du SP.a, qui l'accueille à bras ouverts.

On sait aussi que le même Ahidar est issu du milieu du gardiennage, spécialement surveillé par la Sûreté de l'Etat, qui y voit une pépinière d'islamistes en devenir et un centre de recrutement pour des jihadistes de choc.

On finirait par croire que ces activités facilitent l'ascension politique de Fouad Ahidar, à la tête de 4 mandats bien rémunérés (député au parlement bruxellois, membre du bureau, conseiller communal à Jette et président du groupe SP.a à la Commission Communautaire Flamande, équivalent de la Cocof du côté francophone) qui lui permettent de poursuivre son lent travail de sape.

Car Fouad Ahidar continuera à siéger, comme si de rien n'était. Son parti ne songera même pas à l'exclure, comme cela arriverait, à juste titre, si un membre du SP.a avouait sa compassion pour un tueur norvégien d'extrême-droite. La bande molenbeekoise des Ayachi est en Syrie pour tuer. Notamment les "infidèles", c'est-à-dire, des musulmans d'une autre branche, des laïcs, des démocrates, des femmes, des enfants.

Le silence des parlementaires bruxellois dénote à suffisance combien nos institutions sont gangrenées par un islamisme, qui n'agit pas encore au grand jour, par l'opportunisme électoraliste de la plupart des élus socialistes et CDH belgo-belges et par la lâcheté des autres.

Car l'exemple de Fouad Ahidar est loin d'être le seul — il en existe beaucoup d'autres comme vous le découvrirez en page 8.


Ubu-Pan du 21-03-2013

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Keski s'est passé cette semaine ? 21-03-2013

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