Printemps belge : les islamistes sont déjà au pouvoir - 21 mars 2013




Voici le texte de la Une du journal du 21 mars 2013 :


Printemps belge : les islamistes sont déjà au pouvoir





Titre à sensation ? Islamophobie ? Pas le moins du monde. Et nous le prouvons. Il suffit de considérer les faits. Et de ne pas se laisser endormir par le discours politiquement correct.


Le malaise a éclaté au grand jour avec l'information, diffusée par la Sûreté de l'Etat, selon laquelle plus de 70 jeunes Belges se battraient dans les rangs islamistes en Syrie. Officiellement, ils font partie d'une "opposition" à Bachar El-Assad, mais tout le monde sait maintenant que ces "libérateurs" ont un agenda caché : le retour au califat islamique, unifiant le Moyen Orient.

Les jeunes têtes brûlées gravitaient dans la mouvance de Sharia4Belgium et du Centre Islamique Belge, dominé par le cheikh Bassam Ayachi, son fils biologique, Abdel Rahman et son "fils" spirituel, Raphaël Gendron.

Jusque-là, il s'agit d'une affaire que ne maîtrisent pas les polices belges, mais elle vient de prendre une toute autre dimension.

Le député bruxellois, Fouad Ahidar (SP.a), vient d'apporter son soutien aux trois terroristes (ils ont été condamnés et emprisonnés en Italie), sans que cela ne soulève la moindre objection dans les rangs du parlement bruxellois. Mieux : Fouad Ahidar a publié sur sa page Facebook une photo montrant Abdel Rahman Ayachi posant fièrement, une arme lourde à la main. "Les masques tombent", selon l'expression en vogue, ces derniers temps...

Il n'en n'est pas à son coup d'essai : en 2011, on découvrait qu'il avait lancé officiellement une recherche de fonds pour la construction d'une mosquée (il y en avait déjà 156 en Région bruxelloise — chiffres de 2011), à Jette. Cela durait depuis 4 ans, et personne ne s'en était inquiété.

On voit que cet élu SP.a confond allègrement le monde de la politique et la religion. Séparation de l'Eglise et de l'Etat ? Connaît pas — comme dans les pays musulmans les plus retardataires et anti-démocratiques. Mais cela ne choque, ni son parti, ni Hervé Doyen, le bourgmestre CDH de Jette.

Il faut reconnaître qu'Ahidar s'est donné beaucoup de mal pour faire passer son islamisme dans la politique belge : depuis 1997, il navigue entre les partis : ID21, Volksunie, Spirit, SP.a, et nulle part, on n'a enregistré d'indignation à l'égard de ses convictions islamiques. Par exemple, en 2005, il a convoqué une conférence de presse pour marquer son opposition à la proposition de loi en faveur de l'adoption d'enfants par des personnes du même sexe. Il sera pétitionnaire d'une manifestation anti "adoption" — en totale contradiction avec le programme du SP.a, qui l'accueille à bras ouverts.

On sait aussi que le même Ahidar est issu du milieu du gardiennage, spécialement surveillé par la Sûreté de l'Etat, qui y voit une pépinière d'islamistes en devenir et un centre de recrutement pour des jihadistes de choc.

On finirait par croire que ces activités facilitent l'ascension politique de Fouad Ahidar, à la tête de 4 mandats bien rémunérés (député au parlement bruxellois, membre du bureau, conseiller communal à Jette et président du groupe SP.a à la Commission Communautaire Flamande, équivalent de la Cocof du côté francophone) qui lui permettent de poursuivre son lent travail de sape.

Car Fouad Ahidar continuera à siéger, comme si de rien n'était. Son parti ne songera même pas à l'exclure, comme cela arriverait, à juste titre, si un membre du SP.a avouait sa compassion pour un tueur norvégien d'extrême-droite. La bande molenbeekoise des Ayachi est en Syrie pour tuer. Notamment les "infidèles", c'est-à-dire, des musulmans d'une autre branche, des laïcs, des démocrates, des femmes, des enfants.

Le silence des parlementaires bruxellois dénote à suffisance combien nos institutions sont gangrenées par un islamisme, qui n'agit pas encore au grand jour, par l'opportunisme électoraliste de la plupart des élus socialistes et CDH belgo-belges et par la lâcheté des autres.

Car l'exemple de Fouad Ahidar est loin d'être le seul — il en existe beaucoup d'autres comme vous le découvrirez en page 8.



La Une de l'Ubu-Pan du 21-03-2013

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La suite (page 8) :



LA LÂCHETÉ DES POLITICIENS

La Belgique compte un peu plus de 300 mosquées, dont seulement 70 sont reconnues. Les imams de ces dernières se partagent les 3 millions d'euros annuels, alloués par le ministère de la Justice, qui gère les cultes. Cela signifie que l'immense majorité des imams n'est pas reconnue. Ce sont des électrons libres, qui n'ont de comptes à rendre à personne. Certains s'improvisent imams et vivent du chômage, d'allocations familiales et disposent d'habitations sociales. Certaines administrations communales vont jusqu'à fermer les yeux sur la polygamie... C'est dans ce fatras d'imams non-contrôlés que l'on trouve le plus influent de tous : cheikh Ayachi Bassam. Basé à Molenbeek (où Moureaux fit voter un subside à sa mosquée, dès 2002), ce prédicateur de la haine continue à aller et venir entre la Belgique et la Syrie, sans le moindre sourcillement de la part de la justice belge.

Autour de ces imams gravitent un nombre incalculable de prédicateurs, dont un des plus tristement célèbres est l'islamiste Azaouaj Ilias, que l'on entend régulièrement à Anderlecht - commune dirigée par le socialiste Eric Tomas, qui ne s'inquiète guère d'empêcher Ilias d'éructer : "Qu'Allah nous accorde la victoire et éradique le sionisme!" dans des réunions, filmées et diffusées sur YouTube.

Et on laisse dire, on laisse faire. Persécuter la Scientologie, oui ; brider la haine islamique, attention, danger, par ici les pincettes.

A Bruxelles, l'impressionnante proportion d'élus issus de l'immigration dicte sa loi aux politiciens belgo-belges désireux de préserver leur place et leurs prébendes, en échange d'un vertueux silence à l'égard de l'intégrisme et l'extrémisme islamique.

Bien au contraire, on a vu Rudy Vervoort, la lavette de Moureaux, tenter d'empêcher Alain Destexhe de parler, alors qu'il dénonçait le laxisme à l'égard de l'islam.


LE DANGER DES ECOLES CORANIQUES


Il s'appelait Brian De Mulder, Anversois de 19 ans, père belge et mère brésilienne. Converti à l'islam. Une scolarité chahutée lui vaut une instruction bâclée, un manque de discernement. Footballeur prometteur, il est boudé par son club (Beerschot), ce qui achève de le révolter contre la société. C'est en s'adonnant au football en salle qu'il fait la connaissance de jeunes musulmans intégristes qui l'endoctrinent aussitôt. Esprit faible, Brian fonce tête baissée dans l'islamisme. On le retrouve dans les émeutes de Borgerhout; il change son nom en Abu Qasem Brasili et publie des photos explicitement anti-européennes sur son site. Avec l'exaltation des novices, il devient un musulman radical. Une nuit, une camionnette s'arrête au bas de l'immeuble. Abu Qasem Brasili fait ses adieux à sa soeur et disparaît. Il serait actuellement en Syrie, où les islamistes se servent de jeunes déboussolés comme de boucliers et de kamikazes... Cet exemple, récemment médiatisé, indique combien les islamistes travaillent les quartiers défavorisés, mais surtout une jeunesse sans perspectives. Cela rappelle évidemment le scénario des Jeunesses hitlériennes des années 1930 : une valorisation illusoire, au travers de l'uniforme et de l'action à tout-va, pour des adolescent(e)s laissés pour compte, se sentant méprisés, à tort ou à raison. Qu'apprend-on aux élèves des écoles coraniques qui fleurissent un peu partout en Belgique et échappent à tout contrôle pédagogique officiel ? Quelles doctrines serinent les "enseignants" de l'école coranique de la mosquée du Cinquantenaire, dont on sait qu'elle est contrôlée (et financée) par l'Arabie saoudite, où règne l'obscurantisme les plus vomitif ? 


UN LENT TRAVAIL DE SAPE


Faricla Tahar, 28ème sur la liste du "bourguemaître" Moureaux en octobre 2012, siège néanmoins comme conseillère communale à Molenbeek, au sein de l'opposition PS. La dame avait cependant obtenu un score médiocre (601 voix), toutes issues de l'immigration. Et c'est ce qui lui vaut son siège au conseil communal... Cette candidate voilée refuse d'ôter son voile lors de ses activités officielles. On peut se demander quel discours elle dispensait, quand elle exerçait sporadiquement son métier d'assistante sociale. Se voulait-elle un exemple pour les immigrées peu enclines à exhiber des signes religieux islamiques?

Toujours est-il que cette péronnelle, très taiseuse pendant les conseils communaux, s'agite beaucoup pour organiser un débat intitulé "Islamophobie, un racisme accepté ?". Comme s'il n'y avait rien d'autre à faire à Molenbeek.

La campagne anti-islamophobie se construit sur un leurre. La communauté maghrébine constituerait une minorité, comparable à ce qu'étaient les Juifs avant la Deuxième Guerre mondiale. Il s'agit évidemment d'une tromperie. En 1940, les Juifs de Belgique étaient moins de 75.000; si on additionne les musulmans en règle et les musulmans illégaux, ils sont dix fois plus, en 2013 ! Il ne s'agit plus d'une minorité en butte à des "persécutions". Autre exemple. Le 23 février 2013, une certaine Fauzaya Talhaoui a déposé une proposition de loi relative à la lutte contre l'islamophobie. Qui est cette sénatrice ? Elle est arrivée en Belgique à l'âge de 7 ans (née dans l'enclave espagnole de Melilla, au Maroc) et a beaucoup voyagé dans les partis politiques : Agalev, Spirit, SP.a, qui lui proposa enfin un emploi rémunérateur. Dans cette famille, on hésite beaucoup à s'engager dans un parti : son frère, Mohamed Talhaoui, s'est présenté sur les listes VLD (2003), avant de quitter ce parti avec fracas, sous un prétexte explicite : "Je me rends compte que je fais partie d'un parti antilibéral d'extrême-droite du citoyen blanc, qui n'a rien à offrir à la société multiculturelle". En d'autres termes les libéraux flamands ne sont pas assez pro-islam.

Car, non voilée, Fauzaya Talhaoui appartient à une famille où, selon ses propres dires, on respecte les rituels islamiques, tel le ramadan (interview dans le Nieuws-blad, 27 mars 2005). Et c'est à ce personnage que nous devons une proposition de loi "contre l'islarnophobie" Pas un mot sur le racisme anti-Blanc ; pas une virgule relative aux attentats de plus en plus souvent anti-chrétiens.

En Belgique ? Mais oui, madame ! On ne compte plus les écoles catholiques dans lesquelles de jeunes pillards ne se contentent plus de voler le matériel informatique. Ils accompagnent leurs vols de la destruction systématique de statues à caractère religieux, de crucifix, d'images pieuses.

Pour comble, ces manifestations de "christianophobie" ne constituent même pas une circonstance aggravante!

Fauzaya Talhaoui est bien décidée à faire taire toute voix s'exprimant librement sur l'islam. Avec la complicité de sénateurs et d'élus - pas seulement musulmans. 


UN COMBAT DÉJÀ PERDU ?


Le député provincial Serge Hustache (Hainaut), invite un islamiste tunisien d'Ennhada, ce parti dont la première tâche a été de supprimer l'égalité homme/ femme. Face à la situation catastrophique du Hainaut (Arcelor-Mittal, Caterpillar et une moyenne de 1.000 faillites par mois !), quel est l'intérêt des électeurs du député socialiste de faire venir un extrémiste qui, comme de coutume, va tenir un double langage, mentir pour endormir et encourager les plus radicaux des musulmans ? Autre anomalie. Selon son nouveau contrat, élaboré par le cabinet de Fadila Laanan, la RTBF sera autorisée à créer 5 nouvelles chaînes de radio, afin de "mieux couvrir la diversité des origines et des cultures de la population de la Fédération Wallonie-Bruxelles".

Est-ce vraiment le rôle d'une radio publique d'entretenir une ou plusieurs chaînes s'exprimant et de parler d'autres langues que nos trois langues nationales ?

La photo ci-dessous montre le public d'un auditoire de... l'ULB ! Le temple du libre-examen a laissé entrer les marchands d'islam, au nom d'une laïcité mal comprise. Est-ce bien le rôle de l'ULB d'inviter Tariq Ramadan, spécialiste du double langage et héritier d'une famille notoirement antisémite, au travers des Frères Musulmans (dont le grand père de Tariq fut un des fondateurs) et de sa parentèle avec le grand mufti de Jérusalem, ami d'Hitler et négationniste notoire ? Ou d'entretenir un "chercheur" tel Chichah, toujours prêt à soutenir les manifestations contre l'interdiction de la burqa ?

Comme on le voit, l'Etat belge est infiltré, à tous les niveaux, par un islam radical qui désormais défunt les agendas. Par calcul électoraliste, les politiciens se réfugient dans un silence coupable. Qui finira par se retourner contre eux et leur coûter très cher. Pas seulement qu'à eux : à l'ensemble de la population belge. 



Ubu-Pan du 21 mars 2013