Accueil » immigration
LE SCANDALE DE LA GRATUITÉ SUPPRIMÉE POUR LES SENIORS: RACISME ANTI-BLANCS ?

LE SCANDALE DE LA GRATUITÉ SUPPRIMÉE POUR LES SENIORS: RACISME ANTI-BLANCS ?




Un grave soupçon de racisme anti-Blancs pèse sur la décision des TEC et de la STlB de supprimer la gratuité de parcours sur trams, bus et métros pour les plus de 65 ans. A la Stib (Société des Transports Islamiques Bruxellois), c'est flagrant. Les nouveaux tarifs d'abonnements "privilégient les familles nombreuses", selon les dires du service de communication. Or, à Bruxelles, les familles nombreuses se retrouvent majoritairement dans certaines catégories de la population, à la fécondité exponentielle.

Les familles à 1 ou 2 enfants sont... nombreuses chez les Belgo-belges, comme l'indiquent de nouvelles statistiques publiées par la Région bruxelloise. Or, pour elles, c'est plein pot pour les abonnements scolaires.

Quant aux seniors, ils disposaient de la gratuité, justifiée par la baisse de leurs revenus et par le fait que leur état de santé les obligeait à se déplacer régulièrement via les transports en commun.

Alors que les multiples gouvernements de la Belgique proclament que les impôts ne seront pas augmentés et combien leur est forte leur compassion pour "les plus faibles et les classes moyennes en particulier", les plus de 65 ans sont priés de passer à la caisse. Bien entendu, il y a des exceptions, notamment pour les plus bas revenus. Et dans quelle catégorie de la population trouve-t-on ces éternels bas revenus ? Poser la question, c'est y répondre.

En réalité, la Stib pourrait se passer de cette humiliation pour les Belges de plus de 65 ans, si elle renonçait à ses projets aussi pharaoniques qu'imbéciles. Voilà-t-il pas que ces messieurs envisagent de commander des trams de 2,65 m de large - leur largeur actuelle est de 2,2 m. Autant dire que ces trams XL entraîneraient la suppression de la plupart des pistes cyclables, car il n'y a pratiquement aucune rue où deux trams de 2,65 m de large pourraient se croiser. Mais cet élargissement se justifie par le nombre grandissant de poussettes - et dans quelle catégorie de population etc ?

Cerise sur le gâteau à la schnouf : devant la lenteur des travaux du RER (dernière date de mise service prévue : 2025 alors que initialement, 2007 était envisagé !), la Stib étudie l'achat de... trains destinés à un RER bis. Rien que le montant des études commandées à des copains pour ces projets détraqués et absurdes permettrait de prolonger la gratuité pour les seniors pendant 10 ans !


07-02-2013

Chômage : ces glandeurs que nous payons à glander

Chômage : ces glandeurs que nous payons à glander.




Nous le proclamons depuis longtemps : le chômage ruine l'économie belge. "Populisme", "islamophobie", "presse de caniveau" sont les insultes les plus délicates que cela nous a valu de la part des médias subsidiés et d'une partie du monde politique — sans compter les asbl, qui elles aussi (elles sont 20.000 en Belgique et coûtent 2 milliards d'euros par an) plombent les comptes de l'Etat, à tous les niveaux (fédéral, régional, communautaire etc.).

Le bureau de recherche Idea Consult, qui n'est pas une officine d'extrême-droite ou populiste, vient de nous donner raison, au travers de chiffres sans appel. Un chômeur belge coûte 33.443 euros par an. C'est 16% de plus qu'en France, 33 % de plus qu'en Allemagne et... 85 % de plus qu'en Grande-Bretagne, où le chômeur coûte 18.008 euros !

Dans ce chiffre belge hallucinant, il faut distinguer les allocations moyennes (9.493 euros) et le manque à gagner pour l'Etat (impôts, cotisations, etc) que représente le chômeur, soit 23.950 euros — une preuve de plus que le travail est imposé de manière démentielle dans notre belle démocrassie.

Entendons-nous bien : il ne s'agit pas de fustiger l'ensemble des chômeurs. Un travailleur perdant son emploi à la suite de faillite ou de délocalisation ou de "restructurations" mérite tout notre respect, surtout s'il a travaillé pendant des dizaines d'années, réalisant son boulot avec coeur et expertise.

Mais il y a les autres... Les glandeurs.

Ceux qui n'ont pratiquement jamais travaillé et ont fait du chômage leur profession. En Région bruxelloise, il est établi que l'immigration maghrébine et turque se compose de plus de 50 % de personnes disposant seulement d'un certificat d'école primaire (chiffres déclarés par le gouvernement bruxellois). Parmi eux, 11 % ne parlent même pas une des langues nationales, et 4% sont analphabètes.

C'est-à-dire que 50 % de ces immigrés ne sont pas aptes à jamais trouver un boulot dans une capitale où on a un urgent besoin de travailleurs qualifiés. Est-il normal que l'on voie traîner en rue des barbus en djellabah ou accoutrements pakistanais, qui ne travaillent pas mais se retrouvent pourtant émarger aux allocations de chômage, augmentées éventuellement d'indemnités pour accident de... travail et nantis d'un logement social ? Est-il normal de voir devant les bureaux de chômage s'aligner (en double et triple file I) des bagnoles plus chères que les 33.443 euros que coûte annuellement un chômeur ?

Est-il normal de découvrir des cohortes de voilées déambuler dans les rues ou prendre le café chez Ikea, parfaitement capables de travailler et en plus, ravies d'éviter cette corvée, sur ordre de leurs maris, qui ne veulent pas voir leurs épouses côtoyer des chiens d'infidèles. Des femmes, attachées au port du voile, persuadées de ne jamais être engagées. Des femmes qui n'ont jamais cotisé à la sécurité sociale, mais en profitent à fond. Car il s'agit bien là de profit.

Alors que l'on rabote les pensions de ceux qui ont cotisé toute leur vie ; alors qu'on leur supprime cet "intolérable avantage" que représente la gratuité dans les transports en commun (sauf pour les voilées de plus de 65 ans, éternelles victimes, éternelles détentrices de "revenus modestes"), la Belgique entretient une armée de glandeurs et de glandeuses.

Cette absurdité résulte de calculs PoliticienS. Le PS, accompagné du CDH et d'Ecolo, ont beaucoup tablé sur le potentiel électoral que représentait, d'après eux, ce prolétariat allochtone. Grâce au PS, on a fait venir et accepté des gens qui ne travailleraient jamais ou seulement dans des emplois précaires et très subalternes, mais dont le mécontentement et la désillusion seraient, selon les imbéciles comme Philippe Moureaux, un réservoir d'électeurs pour le"parti du peuple".

Las ! Comme toujours, Moureaux s'est fourré le doigt dans Ses ouailles d'Oujda, dont le taux de chômage, entre 18 et 65 ans, atteint les 59,32% (chiffres au ler janvier 2011), votent pour la liste Islam. Et ne recherchent pas de travail. En attendant le jihad final. C'est glandiose !


07-02-2013

REGROUPEMENT FAMILIAL : PS, CDH ET ECOLO AVAIENT TOUT FAUX

REGROUPEMENT FAMILIAL : PS, CDH ET ECOLO AVAIENT TOUT FAUX



Pendant des années, le regroupement familial a coûté des millions d'euros au contribuable belge. Partie d'un bon sentiment, la notion de regroupement familial fut coulée en loi par Valéry Giscard d'Estaing, en 1976. Sous la pression des socialistes, la Belgique imita la France au travers de la loi du 15 décembre 1980. La version belge du regroupement familial suintait l'éternelle pratique socialiste c'est la collectivité qui paie. Quatre ans après l'introduction du regroupement en France, le PS ne tint aucun compte de l'expérience outre-Quiévrain.

Exemple. Le PS fit semblant d'ignorer que le concept "famille" peut recouvrir plusieurs interprétations, selon les pays, les cultures, les usages particuliers. Alors que l'Europe voit dans la famille une cellule minimale - le "noyau nucléaire" père, mère et enfants - l'Arabe joint volontiers les parents, les grands-parents, voire les cousins ou même des amis très chers, qui sont devenus des "frères". Appliquant les désastreux diktats électoralistes de Philippe Moureaux, alors grand manitou au PS, le parti fit voter en vitesse et presqu'en catimini (le 15 décembre, veille des congés de Noël) une loi bancale, mal ficelée et fichtrement onéreuse pour le contribuable. En outre, elle a engendré tous les abus et a drainé en Belgique des cohortes d'analphabètes, qui n'ont jamais pu s'insérer dans les circuits du travail. Certains étaient attirés par ce pays "où on gagne de l'argent, même en ne travaillant pas". En mai 2011 et à l'initiative du député MR Denis Ducarme, un durcissement de la loi de 1980 fut votée par une majorité N-VA, CD&V, OpenVLD, SP.A et MR. Devant leurs résultats électoraux dus au racolage des électeurs allochtones, le PS et le CDH s'étaient abstenus, tandis que Groen et Ecolo votaient contre. Les Grandes Consciences avaient tort. En 2012, la Belgique a accepté 30.096 cas de regroupement familial. Ils étaient encore 36.828 en 2011 et 41.336 en 2010. Depuis l'arrivée de Maggie De Block au secrétariat d'Etat à l'Asile et la migration, on a assisté à une baisse de 27% des satisfactions aux demandes de regroupement familial. Avant 2011, deux tiers des demandes étaient approuvées. Aujourd'hui, la moitié reçoit une réponse négative. Ces refus sont essentiellement motivés par l'insuffisance des moyens de la personne désirant faire venir en Belgique des membres de sa "famille". Tout n'est pas encore parfait, mais on peut espérer que la Belgique ne sera plus la championne des imbéciles idiots qui entretient les petits malins qui n'ont aucune intention de s'intégrer dans le modèle belge. Toutefois, si M. Bernard Arnault, dont la société Protectinvest est établie à Schaerbeek depuis 2008, éprouvait des difficultés à obtenir la nationalité belge, l'éditeur d'Ubu-Pan est prêt à l'adopter dans sa famille et lui faire profiter de tous les avantages que prévoit la loi belge.

Oscar Louis

31-01-2013

FAIT D'ASILE CHEZ FEDASIL

FAIT D'ASILE CHEZ FEDASIL


Des faits d'une intense gravité se sont produits à Jodoigne.

Un jeune de 18 ans qui jouait au ping-pong en a poignardé un autre, âgé de 16 ans, qui se trouvait lui aussi dans la salle de jeu du centre Fedasil.

Ce genre de fait, s'il n'est pas courant, se généralise et ne nous étonne pas, ne nous choque même plus.

Un petit rappel s'impose donc. Le centre Fedasil (2 centres dans le BW) a pour vocation d'aider les demandeurs d'asile et les réfugiés.

Il est bien normal d'aider des gens qui sont - théoriquement - en danger dans leur pays mais, ne rêvons pas : ces réfugiés n'ont plus rien à voir avec ceux d'il y a 20 ou 30 ans.

La plupart de ces réfugiés ne sont que des migrants économiques n'ayant aucune formation, une culture très différente de la nôtre et, surtout, quasiment aucune volonté de s'intégrer.

D'aileurs, c'est bien simple, on ne leur demande même pas de s'intégrer !

Les intervenants sociaux font semblant de croire leurs récits, appris par cœur, qui leur permettront de rester en Belgique.

Un exemple, dans les centres Fedasil, ils reçoivent : gîte, couvert, accompagnement social individualisé, accompagnement juridique, interprète, soins médicaux et psychologiques, enseignement, formations - tout cela gratuitement.

N'oublions pas leur argent de poche, etc. La seule tâche au service de la communauté qui leur est proposée, mais non obligée, est le nettoyage des communs du centre où ils vivent. Pour ce faire ils reçoivent.., une brosse ? Non, de l'argent.

Il ne s'agit donc pas d'un service alors qu'il est présenté comme tel !

En fait, il est très clair que la prise en charge de ces gens est très naïve de notre part.

Il est complètement décalé de considérer ces gens comme des réfugiés politiques.

La plupart de ces "réfugiés" sont des gens bien, mais que l'on forme à devenir des assistés.

On ne leur demande rien et on leur donne tout.

La conséquence ? Des personnes qui sombrent dans l'oisiveté et/ou la criminalité.

Des faits de violences graves, comme en témoigne ce malheureux fait d'asile chez Fedasil...

Réveillons-nous !

Burkini

Burkini





La photo a été prise à la piscine de Gand Saint-Amand. Dans son élégant burqini, cette "chance pour la Belgique" s'apprête à plonger, comme le ferait une infidèle en bikini. La différence, c'est que l'in-fidèle ne peut pas fréquenter la piscine au même moment que la dévote d'Allah et de son prophète. La municipalité (le bourgmestre de Gand, le très populiste Daniël Termont) a réservé des heures pour les grenouilles de bénitier halal. En ces moments sacrés, même les caissières sont musulmanes et, avec cette amabilité qui fait tout leur charme, elles repoussent les fidèles d'un "Vous n'avez rien à faire ici, revenez-plus tard': On a aussi prévu un régime spécial pour les burqinettes elles ne doivent pas passer sous la douche préalablement à leurs exploits d'ondines. En revanche, les infidèles ne peu-vent se baigner en bermuda pour d'évidentes "raisons d'hygiène" et doivent passer aux ablutions avant de s'immerger dans la piscine - quand les burqinettes ne sont pas là. Alors que les chérubins allochtones se pressaient aux vitres des piscines pour mater les baigneuses infidèles et les insulter, le bourgmestre d'Anvers a fait recouvrir les fenêtres d'un film opaque afin que les chiens de chrétiens ne puissent assister aux ébats aquatiques des filles du jihad. Ah, que ces temps multiculturels sont exaltants !


15-08-2012

ON NE RIGOLE PAS AVEC LES LOIS SUR LES ÉTRANGERS !


ON NE RIGOLE PAS AVEC LES LOIS SUR LES ÉTRANGERS !




Qu'on en juge d'après les règles qui suivent :

Il n'y aura pas de programmes en langue étrangère dans les écoles" ; "Toutes les annonces du gouvernement et les élections se dérouleront dans la langue nationale" "Toutes les questions administratives auront lieu dans la langue du pays" ; "Les étrangers ne seront pas un fardeau pour les contribuables. Pas de sécurité sociale, pas d'indemnité de repas, pas de soins de santé ou tout autre avantage public ne seront accordés. Tout abus provoquera kt déportation" ; "Les étrangers peuvent investir dans le pays, mais le montant doit s'élever au minimum à 90.000 fois la moyenne journalière de subsistance" ; "Si les étrangers achètent de l'immobilier, les possibilités sont limitées. Certains terrains, en particulier les biens immobiliers disposant d'accès à l'eau courante, seront réservés pour les citoyens nés dans le pays" ; "Les étrangers ne peuvent pas protester chez nous. Aucune manifestation, aucune utilisation d'un drapeau étranger, aucune organisation politique. Aucune calomnie sur notre pays, son gouvernement et sa politique. ?bute violation conduira à la déportation" ; "Si quelqu'un pénètre dans ce pays illégale-ment, il sera traqué sans merci. Arrêté, il sera détenu jusqu'à ce qu'il soit expulsé. Tous ses biens seront saisis". 


Nous nous rendons bien compte que cette énumération aura provoqué une dizaine de crises cardiaques chez Amnesty International, la Ligue des Droits de l'Homme et au Centre pour l'Egalité des Chances, à ce jour mystérieusement muets sur cette question, mais il nous paraissait intéressant de mettre en garde les visiteurs des Emirats Arabes Unis. 

En effet, ce qui précède constitue le code destiné aux immigrés dans ces royaumes du sable et du pétrole (et bientôt, des pistes de ski et des stades de foot climatisés). Autant le savoir.

Si d'aucuns cèderaient à la nostalgie du Congo de papa et désireraient acquérir un terrain agricole au pays de Kabila, qu'ils sachent que depuis le 30 juin de cette année (sans doute pour fêter les 62 ans de l'indépendance) est entrée en vigueur une "loi agricole", votée depuis le 24 décembre 2011 (ça, c'était pour notre petit Noël).

Selon les dispositions de cette prose hautement multiculturelle, les propriétaires étrangers doivent céder 51 % de leurs terres cultivées à des Congolais, avant le 30 juin 2013 - toujours pour fêter dignement l'indépendance. La chose s'est déjà produite au Zimbabwe, où règne le dictateur Robert Mugabe,  crétin sanguinaire mille fois plus dangereux que Bachar El-Assad en Syrie. Il en est résulté une famine épouvantable. A présent, le Zimbabwe doit importer de l'étranger ses denrées alimentaires.., qu'il ne peut pas payer.

Etrangement, ce sont ces pays, Émirats et Congo, qui osent nous rappeler à l'ordre dès que nous prenons des dispositions nous protégeant d'un envahissement d'étrangers (selon les termes mêmes utilisés sous d'autres cieux). Interdire la burqa vous vaut d'être jeté au ban islamiste des "persécuteurs". C'est encore plus hilarant quand c'est dit par un ministre congolais ou un émir de Dubaï. 


26-07-2012

UN RÉFUGIÉ AFGHAN TRÈS BIZARRE

UN RÉFUGIÉ AFGHAN TRÈS BIZARRE



Les médias et les belles consciences se sont beaucoup émus du sort d'un réfugié afghan de 19 ans, Parwais Sangari. Présent en Belgique depuis quatre ans, il a été expulsé vers Kaboul, ce lundi 9 juillet. Encore une fois, la secrétaire d'Etat à l'Asile, l'Immigration et l'intégration sociale, Maggie De Block (OpenVLD), apparaît comme un monstre sans coeur. Bien cornaqué, notamment par l'avocate Kati Verstrepen, le jeune homme faisait état d'une formation professionnelle, d'un apprentissage rapide du néerlandais et du soutien d'une famille d'accueil. Tout pour devenir un parfait citoyen belge ?

C'est ce qu'a voulu nous faire croire la bonne presse subsidiée, RTBF y compris. RTL-TVI y a vu une bonne histoire de vacances, bien larmoyante et formatée pour arracher des larmes à la dame patronnesse qui se dissimule en chaque Belge, programmé pour éprouver une culpabilité éternel-le à l'égard de tout pays au-delà de la Méditerranée, par-dessus le Caucase et à la lisière de l'Asie. Cerise sur le gâteau, un journal a titré, attribuant à Sangari l'argu-ment massue : "Est-ce parce que je suis musulman que la Belgique m'expulse ?". L'odyssée de Parwais Sangari relève sans conteste d'un réel drame humain.

 Pourquoi s'acharner sur lui, alors que le Camerounais Scott Manyo a joui d'une clémence injustifiée : son pays n'est pas un "pays dangereux" ? Sans doute n'était-il pas très opportun de le renvoyer en Afghanistan, royaume de la corruption, refuge de terroristes, plaine de jeu des talibans, patrie du non-respect des droits élémentaires de la femme, terrain de chasse pour les trafiquants pourris comme le président Karzaï son clan et son "gouvernement". C'est aussi un gouffre financier pour les pays étrangers, présents sur place en pure perte, car les sommes investies "pour la paix et le peuple" sont consciencieusement détournées par Karzaï & Co, prêts à s'allier avec ceux qu'ils prétendent combattre. Pour un occidental, faire escale à Kaboul est tout aussi rassurant que vouloir séjourner dans une cage aux lions affamés.

 Danger partout, et à plus forte raison quand on se dit proche d'une des myriades d'oppositions — l'Afghanistan reste ancré dans une structure féodale de clans qui se font et se feront la guerre de toute éternité. En l'expulsant, a-t-on renvoyé Parwais Sangari dans la gueule du loup ? Sans doute. Sauf que... L'histoire qu'il a débitée pour justifier sa fuite d'Afghanistan, en 2008, ne tient pas debout. Une journaliste s'est rendue à Kaboul et a cherché à accumuler les preuves, réclamées par l'Office des étrangers avant de légaliser la présence du jeune Afghan sur notre territoire. Ce dernier a fait état d'un oncle, Javed Haïderi, prêt à corroborer sa version des faits. Cet "oncle" s'est révélé un ami du père, tellement proche qu'il en est devenu un membre de la famille et que l'on peut l'appeler "oncle".

Un vieux truc utilisé par les musulmans pour justifier les regroupements familiaux, par exemple... Le père, Abdul Qayoum, haut gradé des services secrets afghans, aurait été liquidé en pleine rue. Problème : les services secrets ne trouvent trace, ni d'un Abdul Qayoum, ni a fortiori de son assassinat. Toujours selon Sangari, la maison de ses parents aurait été incendiée au moment même où son père tombait sous les balles des tueurs. Il se fait que les services des pompiers de Kaboul ont été formés par des Américains et qu'ils en ont adopté les procédures d'archivage. "Même une fausse alerte est consignée dans nos livres", affirment le commandant Var Mohammed et son documentaliste Zabour Khan.

 Or, on ne trouve pas trace d'un incendie à la date et à l'endroit désignés par Parwais Sangari ! Enfin, le jeune réfugié et son avocate font état d'une lettre d'un parlementaire afghan, Zahir Sadad, confirmant la version Sangari des faits. Rencontré sur place, Zahir Sadad tombe du ciel il n'a jamais entendu parle' de Parwais Sangari, pas plus que de son "oncle" dont il serait l'ami, ni d'Abdul Qayoum. Pour comble, il n'aurait jamais écrit de lettre à propos de faits dont il n'a eu aucune connaissance et qui paraissent plus que douteux après les investigations auprès des services secrets et des pompiers.

L'histoire de Parwais Sangari risque de devenir emblématique de l'énorme confusion qui règne dans le domaine de l'immigration. Faut-il rappeler le cas de ces Africaines, prétendant fuir une zone de guerre, où le viol est un fait quotidien ? On apprend, trop tard, qu'elles ne proviennent pas de ces zones, voire des pays dé-clarés dangereux et qu'elles n'ont jamais été violées. En revanche, elles sont enceintes, accouchent en Belgique, ne peuvent plus être renvoyées et, le temps venu, font venir le père, la famille, la famille du père, au titre de regroupement familial. Les drames humains doivent continuer à toucher notre conscience. De là à sombrer dans la sensiblerie et à devenir les gogos de fabricants d'histoires poignantes, mais fausses...


 Article UBU-PAN 19 juillet 2012

UN RÉFUGIÉ AFGHAN TRÈS BIZARRE

UN RÉFUGIÉ AFGHAN TRÈS BIZARRE




Les médias et les belles consciences se sont beaucoup émus du sort d'un réfugié afghan de 19 ans, Parwais Sangari. Présent en Belgique depuis quatre ans, il a été expulsé vers Kaboul, ce lundi 9 juillet. Encore une fois, la secrétaire d'Etat à l'Asile, l'immigration et l'intégration sociale, Maggie De Block (OpenVLD), apparaît comme un monstre sans coeur.

Bien cornaqué, notamment par l'avocate Kati Verstrepen, le jeune homme faisait état d'une formation professionnelle, d'un apprentissage rapide du néerlandais et du soutien d'une famille d'accueil. Tout pour devenir un parfait citoyen belge ?

C'est ce qu'a voulu nous faire croire la bonne presse subsidiée, RTBF y compris. RTL-TVI y a vu une bonne histoire de vacances, bien larmoyante et formatée pour arracher des larmes à la dame patronnesse qui se dissimule en chaque Belge, programmé pour éprouver une culpabilité éternelle à l'égard de tout pays au-delà de la Méditerranée, par-dessus le Caucase et à la lisière de l'Asie. Cerise sur le gâteau, un journal a titré, attribuant à Sangari l'argument massue : "Est-ce parce que je suis musulman que la Belgique m'expulse".

L'odyssée de Parwais Sangari relève sans conteste d'un réel drame humain. Pourquoi s'acharner sur lui, alors que le Camerounais Scott Manyo a joui d'une clémence injustifiée : son pays n'est pas un "pays dangereux" ? Sans doute n'était-il pas très opportun de le renvoyer en Afghanistan, royaume de la corruption, refuge de terroristes, plaine de jeu des talibans, patrie du non-respect des droits élémentaires de la femme, terrain de chasse pour les trafiquants pourris comme le président Karzai, son clan et son "gouvernement". C'est aussi un gouffre financier pour les pays étrangers, présents sur place en pure perte, car les sommes investies "pour la paix et le peuple" sont consciencieusement détournées par Karzaï & Co, prêts à s'allier avec ceux qu'ils prétendent combattre.

Pour un occidental, faire escale à Kaboul est tout aussi rassurant que vouloir séjourner dans une cage aux lions affamés. Danger partout, et à plus forte raison quand on se dit proche d'une des myriades d'oppositions — l'Afghanistan reste ancré dans une structure féodale de clans qui se font et se feront la guerre de toute éternité. En l'expulsant, a-t-on renvoyé Parwais Sangari dans la gueule du loup ?

Sans doute. Sauf que... L'histoire qu'il a débitée pour justifier sa fuite d'Afghanistan, en 2008, ne tient pas debout. Une journaliste s'est rendue à Kaboul et a cherché à accumuler les preuves, réclamées par l'Office des étrangers avant de légaliser la présence du jeune Afghan sur notre territoire.

Ce dernier a fait état d'un oncle, Javed Haïderi, prêt à corroborer sa version des faits. Cet "oncle" s'est révélé un ami du père, tellement proche qu'il en est devenu un membre de la famille et que l'on peut l'appeler "oncle". Un vieux truc utilisé par les musulmans pour justifier les regroupements familiaux, par exemple... Le père, Abdul Qayoum, haut gradé des services secrets afghans, aurait été liquidé en pleine rue.

Problème : les services secrets ne trouvent trace, ni d'un Abdul Qayoum, ni a fortiori de son assassinat.

Toujours selon Sangari la maison de ses parents aurait été incendiée au moment même où son père tombait sous les balles des tueurs. Il se fait que les services des pompiers de Kaboul ont été formés par des Américains et qu'ils en ont adopté les procédures d'archivage. "Même une fausse alerte est consignée dans nos livres", affirment le commandant Yar Mohammed et son documentaliste Zabour Khan. Or, on ne trouve pas trace d'un incendie à la date et à l'endroit désignés par Parwais Sangari !

Enfin, le jeune réfugié et son avocate font état d'une lettre d'un parlementaire afghan, Zahir Sadad, confirmant la version Sangari des faits.

Rencontré sur place, Zahir Sadad tombe du ciel : il n'a jamais entendu parler de Parwais Sangari, pas plus que de son "oncle" dont il serait l'ami, ni d'Abdul Qayoum. Pour comble, il n'aurait jamais écrit de lettre à propos de faits dont il n'a eu aucune connaissance et qui paraissent plus que douteux après les  investigations auprès des services secrets et des pompiers.

L'histoire de Parwais Sangari risque de devenir emblématique de l'énorme confusion qui règne dans le domaine de l'immigration. Faut-il rappeler le cas de ces Africaines, prétendant fuir une zone de guerre, où le viol est un fait quotidien ? On apprend, trop tard, qu'elles ne proviennent pas de ces zones, voire des pays déclarés dangereux et qu'elles n'ont jamais été violées. En revanche, elles sont enceintes, accouchent en Belgique, ne peuvent plus être renvoyées et, le temps venu, font venir le père, la famille, la famille du père, au titre de regroupement familial. Les drames humains doivent continuer à toucher notre conscience. De là à sombrer dans la sensiblerie et à devenir les gogos de fabricants d'histoires poignantes, mais fausses...


19-07-2012

IRRÉGULARITÉS AU CENTRE POUR ILLÉGAUX

IRRÉGULARITÉS AU CENTRE POUR ILLÉGAUX




C'est une histoire de caricote. Pas le mollusque vendu dans des échoppes aux abords des foires, mais un nouveau centre de rassemblement pour illégaux, à Steenokkerzeel.

Selon certains, la forme du bâtiment ferait penser à une coquille de caricole. Admettons.

La construction en a été décidée en 2007 par le gouvernement Verhofstadt. Il faut agir dans l'urgence et on imagine une série de passe-droits pour échapper aux procédures habituelles dans le domaine de la construction d'édifices publics. On voit d'ici poindre les premières irrégularités... jamais perdues pour tout le monde.

La Bnissels Airport Company (BAC) est chargée de la construction de ce nouveau centre d'accueil, le plus proche possible du centre 127bis, célèbre par son afflux d'illégaux récalcitrants. La facture est de 16,5 millions d'euros (660 mil-lions de francs belges). Un tel montant aurait dû faire sourciller, d'autant plus que l'affaire affiche un rendement de 9 % (la moyenne se situe entre 6 et 7 %), mais elle passe comme lettre à la poste.

L'Etat belge s'engage à louer les lieux pendant 36 ans pour un loyer annuel de 1,5 millions d'euros (60 mil-lions de francs belges). A ce rythme, l'investissement de BAC sera amorti en 11 ans. Les 25 ans restants du bail seront pur profit pour BAC. Qui a dit que l' Etat ne savait pas se montrer généreux à l'égard d'amis ?

A l'époque, pour remplir les caisses vides de l'Etat, nos (ir)responsables politiques vendent à vil prix les bâtiments de l'Etat. Par exemple, la Tour des Finances, à Bruxelles, est cédée à des promoteurs privés qui s'en frottent encore les mains : la Belgique loue trop cher les bureaux dans la Tour dont elle était propriétaire !

Là où la farce devient énorme, c'est quand on apprend que la Cour des Comptes a publié, en 2010, le coût exact de cette opération 1,8 milliards d'euros. Pour en revenir à la caricole de Brussels Airport, il s'avère que le loyer est trop élevé, mais cela n'empêche pas Servais Verherstraeten, secrétaire d'Etat CD8tV à la Régie des Bâtiments, de dormir.

Il reste stoïque quand on lui fait remarquer que l'Etat belge a payé un loyer trop élevé pour la "caricole"... sans l'utiliser pendant 4 ans. On s'est, en effet, rendu compte de la présence de nombreuses malfaçons. La plus pittoresque est le fait que les clenches des portes des cellules avaient été montées à l'intérieur et non à l'extérieur de ces dernières. Un vrai paradis de l'évasion.

Et il a fallu 4 ans pour apporter une solution. Quatre ans qui auront coûté 6 millions d'euros (240 millions de francs !) au contribuable belge. Quatre, ça en fait des "réfugiés" qui villégiaturent dans notre beau pays...


19-07-2012

PAN INVESTIGATION PAS INTÉGRÉS LES MUSULMANS ? "C'EST TOUT LE CONTRAIRE"

PAN INVESTIGATION PAS INTÉGRÉS LES MUSULMANS ? "C'EST TOUT LE CONTRAIRE"



Une fois n'est pas coutume, j'ai décidé de reprendre textuellement le titre d'un article du Swâr en date du 22 juin 2012. Cet article relaie et fait "l'analyse" d'une étude commanditée par la Commission Européenne sur les valeurs qui unissent ou qui séparent les musulmans et les non-musulmans dans six pays d'Europe, dont la Belgique. Le résultat de cette étude, appelée Eurislam, ne fait aucun doute, selon le Swâr : les musulmans de Belgique sont en très grande majorité fiers d'être Belges... Enfin, c'est-à-dire, une majorité plutôt relative. Si 56% des musulmans d'origine marocaine sont fiers d'être Belges, chez les musulmans d'origine turque, ils ne sont plus que 24%... Ca fait quand même 44% des Belges musulmans d'origine marocaine qui ne sont pas fiers d'être Belges. Et que penser des 76% des Belges musulmans d'origine turque qui ne sont pas fiers de la nationalité qui leur est offerte et de tous les avantages qui "vont avec" ? Je me suis donc interrogé sur cette "Intégration" dont parle le Swâr et me suis rendu dans plusieurs quartiers bruxellois à forte majorité musulmane : Anderlecht, Schaerbeek et Saint-Josse. J'ai rencontré des commerçants installés là depuis plusieurs années ou décennies. Des Belges d'origine et non musulmans. Et je leur ai demandé ce qu'ils pensaient de cette étude et de la "cohabitation". Une fois la crainte de parler écartée après la garantie que leur nom ou celui de leur commerce ne seraient pas cités, j'ai entendu une histoire hallucinante, à plusieurs reprises, toujours la même !

Récit.
Les commerçants reçoivent une cliente portant le voile. Celle-ci achète ou se fait faire des services (coiffeur ou centre d'esthétique) pour un montant dépassant les 100€ ! Lorsque le commerçant ne dispose pas de terminal de paiement, la "cliente" feint de ne pas avoir de liquide sur elle, juste une carte de paiement. Elle se propose donc d'aller chercher de l'argent au distributeur le plus proche. En gage de sa bonne foi, elle laisse son sac à main au commerçant... et ne revient jamais ! Le commerçant ouvre alors le sac (qui n'a aucune valeur) et trouve dans celui-ci un CD reprenant des extraits du Coran ou bien des pages du livre "saint". Selon les commerçants, cette pratique est connue des policiers. Ceux-ci expliquent que cette pratique est une provocation pour faire comprendre aux non musulmans qu'ils ne sont plus les bienvenus dans ces quartiers devenus islamiques. Car leur objectif c'est d'avoir des terres musulmanes chez nous. J'ai également tenté de savoir si cette pratique était limitée à Bruxelles, et j'ai eu la confirmation que les mêmes provocations se sont produites dans certains quartiers d'Anvers. Je confirme donc bien le résultat de l'enquête de la Commission Européenne. Une grande majorité des musulmans de Belgique est parfaitement bien intégrée... Ils sont intégrés à leurs quartiers qu'ils tentent de contrôler et à leurs coutumes!

Max Loiseau


05-07-2012

Une immigration poubelle

Une immigration poubelle



Tout a été fait pour empêcher la publication de chiffres concernant l'immigration en Belgique. Et, une fois divulgués, les pros de la communication se sont déchaînés pour les contester, nuancer, contredire, neutraliser. D'un côté, nos éminences ne voulaient pas qu'éclate au grand jour une vérité (que proclame Ubu-Pan depuis des années, ce qui lui vaut d'être taxé de xénophobie, de racisme et d'extrême droitisme par les repris de justice de RésistanceS) qui déplairait aux "Belges de souche". Mais par ailleurs, avouer que l'immigration en Belgique fait la part belle au regroupement familial, cela petit constituer un "signal fort" en direction des nouveaux Belges qui en usent et en abusent.

 Les faits.

En 2010, nous avons accueilli 140.375 nouveaux arrivants. C'est le nombre le plus élevé depuis 1996, lorsqu'étaient arrivés 58.022 immigrants ! Par rapport à 2009 (126.877 immigrants), 2010 accuse une hausse de 11%. A part ça, l'immigration est sous contrôle... Il est vrai qu'en cette même année 2010, on a enregistré 55.175 départs, ce qui nous laisse avec 85.200 personnes sur les bras. C'est comme si, tous les ans, on ajoutait trois fois la ville d'Arlon la population belge. Le problème, c'est que 42% des nouveaux arrivants relèvent du regroupement familial.



En d'autres termes : une immigration qui ne profite en rien, ni au marché du travail, ni à la richesse du pays. En moyenne, dans les pays européens, le regroupement familial représente... 29.5% du flux migratoire. Généreuse et familiale Belgique! Qu'en est-il de la qualité des immigrants ? La plupart ne disposent d'aucun diplôme et d'aucune qualification. Même s'ils suivent une formation, la plupart viennent grossir les rangs des chômeurs ou, plus généralement, des allocataires sociaux. La preuve : seulement 6,1 % des premiers titres de séjour sont accordés pour des raisons de travail. Une indication sur la piètre qualité de notre immigration est donnée par le nombre d'étrangers venus chez nous pour suivre des études. En 2010, ils ne représentaient que 8,44 % des demandes. En Grande-Bretagne, le chiffre monte à 37,05 % en France, 31,9 % ; en Allemagne, 25,6 %. Conclusion évidente : une majorité d'immigrés venant en Belgique n'a ni l'intention de travailler, ni le désir de suivre des études.

Pire : parmi les 6,1 % d'immigrés pour cause de travail, on dénombre une majorité d'Européens venant poursuivre une carrière dans les institutions européennes, par exemple. Et chez les immigrés étudiants, les Indiens sont majoritaires. Venus d'un pays "émergent", ils viennent affiner leurs connaissances chez nous avant de s'en retourner en Inde, qui profitera de leur expertise généreusement délivrée par la Belgique. Si on compare les chiffres belges de l'immigration avec ceux d'autres pays européens (France, Allemagne, Grande-Bretagne), on constate que nous sommes très loin d'une "immigration choisie" ou d'une "chance pour la Belgique", comme on voudrait nous le faire croire. Tout au contraire, nous sommes le pays européen le plus accueillant pour des personnes sans éducation, sans qualification - c'est-à-dire, la tranche de population la plus fragile face aux extrémismes religieux et la plus susceptible de sombrer dans l'une ou l'autre forme de délinquance. Il ne faut pas être raciste ou xénophobe pour mettre en parallèle la gabegie de l'immigration et les chiffres désastreusement en hausse de la "petite" délinquance dans une ville dépotoir comme Bruxelles.

Autre exercice : le rapport entre une forme d'immigration-poubelle et l'effondrement de la qualité de l'enseignement dans des villes comme Charleroi, Liège et Bruxelles. Au passage, signalons que ces opinions, d'une évidence qui peut se passer de chiffres, ont valu à certains de leurs détenteurs les foudres des officines de type fasciste, tel le Centre pour l'Egalité des Chances, le Mrax et autres chiens de garde de la pensée correcte. A présent que les chiffres sont publiés, l'imposture de la police de la pensée est mise à jour. Déjà, le Mrax est en voie de disparition et deux loupiots de RésistanceS (l'observatoire de l'extrême droaaate - la "blanche", pas l'islamiste, comme on peut s'en douter) sont en délicatesse avec la justice. A quand la fin du Centre pour l'Egalité des Chances, dont certaines "formatrices" distillent une propagande anti-israélienne dans des réunions publiques ?

Réaction d'Edouard Delruelle et de Jozef De Witte, directeurs du centre (dans ces fromages subventionnés, on adore les titres, autant que les généraux Alcazar et Tapioca), face aux chiffres :"(Il faut) veiller au respect des droits fondamentaux des étrangers". Il y a des chances que ce genre de déclaration s'appelle "se foutre de la tête du contribuable"...


05-07-2012

LE MAROC, PAYS D'IMMIGRATION

LE MAROC, PAYS D'IMMIGRATION




C'est le monde à l'envers. De plus en plus de Marocains de Belgique (ils disposent de la double nationalité) retournent au pays de leurs ancêtres. Le consulat belge de Casablanca a dénombré 760 retours en août 2011. On estime à un millier le nombre de Marocains qui s'installent pour travailler au Maroc. Ce 23 juin, la firme Dell organisait une journée d'information pour inciter les jeunes Marocains à accepter un emploi dans sa nouvelle implantation marocaine. Rappelons que l'entreprise texane, créée en 1984, a fermé plusieurs usines d'assemblage en Europe (dont Limerick, en Irlande en 2009). Le problème de l'immigration vers le Maroc, c'est qu'elle s'ouvre presque exclusivement aux diplômés. Un personnel qualifié qui a reçu sa formation scolaire et éventuellement universitaire en Belgique. Or, notre enseignement est subsidié par l'argent public belge. Nous laissons donc partir des diplômés, sans que le Maroc n'ait déboursé un dirham pour leur éducation. Et nous nous privons d'une main d'oeuvre qualifiée, voire de haut niveau. Le consulat belge nous cite plusieurs cas de Marocains, nés en Belgique, n'ayant jamais travaillé chez nous et montant de petites entreprises au Maroc, grâce à l'argent des allocations. Restent chez nous les Marocains... dont le Maroc ne veut pas : les sous-qualifiés, les non qualifiés, qui émargent le plus souvent aux aides sociales, puisqu'il n'y a plus d'emploi pour eux, sauf dans les services publics, qui ne créent pas de richesse. A quand l'instauration d'un système de remboursement des études effectuées en Belgique par les pays qui veulent attirer à bon compte nos diplômés ?

28-06-2012