LA TUNISIE, TERRE D'ISLAM

D'après les tour-opérateurs, la fréquentation touristique en Tunisie serait revenue à son niveau d'avant le "printemps arabe".

Pourtant, les touristes revenus de cette terre désormais livrée aux islamistes les plus radicaux n'ont pas ramené que des souvenirs qui prendront la poussière sur la cheminée.

Dès l'aéroport, des femmes européennes sont harcelées par des barbus qui les menacent ; leur habillement est dénigré, "satanisé" sous le regard bienveillant des policiers et des douaniers. Il ne fait pas bon se promener en bikini sur les plages où, par le plus grand des hasards, débarquent de , bonnes musulmanes, enfoulardées de la tête aux pieds.

Dans certains hôtels, on conseille, gentiment puis fermement, aux hommes de ne pas fréquenter les mêmes plages que les femmes. Des spectacles sont interdits ou sabotés par des islamistes. La musique ne retentit plus dans certains hôtels, car l'islam est ennemi de la musique.

Dans certains quartiers touristiques, des hauts parleurs diffusent des versets du Coran psalmodiés.

Ce topo se retrouve en Egypte. Inutile de préciser que les populations locales ne bougent pas le petit doigt pour venir en aide aux touristes affolés. Certains en font un business "Donne-moi 5 dollars, et je te protège des islamistes".

D'ores et déjà, les "infidèles" sont soumis à l'impôt appelé "djizîa" réservé aux non-musulmans (dhimmis) dans les pays régis par l'islam. Les dhimmis sont des individus de seconde zone : Juifs, chrétiens, laïques, animistes, non-musulmans en général. Les athées ne sont pas soumis à cette extorsion : on leur tranche la gorge, car un "sans dieu" est, selon les hadiths (commentaires sur le Coran), une créature diabolique. Malgré notre amour pour le soleil, on se gardera bien de dépenser nos euros dans ces pays qui nous détestent et ne rêvent que de nous humilier avant de nous soumettre. Après tout, il y a tout autant de soleil en Grèce, en Italie et en Espagne, qui ont bien besoin du soutien des touristes.

20-09-2012