Une rentrée scolaire de plus en plus islamisée - 05 septembre 2013






Nous exagérons ? Jugez par vous-mêmes. A Borgerhout (région d'Anvers), la première école "marocaine" ouvre ses portes. On y dispensera un enseignement "dans toutes les langues", selon la version officielle, c'est-à-dire, en arabe, qui n'est pas une langue nationale, pas plus dans le fief de Bart De Wever que dans les Fourons de José Happart. 



Dans l'agglomération bruxelloise, il existe déjà trois écoles islamiques, à Schaerbeek, Molenbeek et Etterbeek. Elles sont financées par la grande mosquée du Cinquantenaire, elle-même arrosée par l'Arabie saoudite, cette dictature de chameliers incultes, devenus fous sous l'influence des pétrodollars. Le comble, c'est que Joëlle Milquet et Laurette Onkelinx se sont battues pour que ces écoles soient reconnues officiellement. Résultat : elles seront subsidiées par le contribuable francophone dès janvier 2014 !

Qu'on se le dise : désormais l'Islam fait la loi dans certaines écoles. Ne parlons pas de la malbouffe halal imposée aux enfants non-musulmans, en dépit des appels à la vigilance sanitaire, en raison du manque d'hygiène et de la dangerosité de la viande halal : le halal est devenu banal. Nous ne parlons même plus des profs d'origine maghrébine qui discutent en arabe dans les préaux (cela se voit dans les athénées de bruxelles).

Toujours à Borgerhout, un complot musulman contre deux institutrices, pas assez "compréhensives" à l'égard des barbus et des voilées, a monté de toutes pièces une affaire de pédophilie. Un mensonge sur toute la ligne : même la police et la justice anversoises, anti-Bart De Wever, n'ont pas trouvé d'indice. Les institutrices persécutées étaient évidemment innocentes. Néanmoins, elles ont été déplacées et l'école a été rebaptisée — la "Blokkendoos" est devenue "Creatopia".

Dans l'entretemps, les glandeuses voilées et les glandeurs barbus, qui manifestaient devant l'étole, alors qu'ils n'y avaient pas inscrit leurs enfants, ces éternels pompeurs d'allocations n'ont pas été inquiétés pour diffamation et incitation à la haine. Et les autorités scolaires ont "conseillé" aux institutrices de ne pas porter plainte. En Communauté française, pardon : Fédération Wallonie-Bruxelles, le paysage est tout aussi désolant. Un enfant sur sept, arrivant à l'école, ne parle aucune de nos langues nationales. Il ne s'agit pas de "primo-arrivants'; mais de mioches issus de familles présentes en Belgique depuis plusieurs générations ! Et à l'instar de cette épouse de terroriste récemment arrêtée, ces familles n'ont aucune intention d'apprendre une "langue de mécréants", aucun désir de s'intégrer, aucune aspiration à permettre à leurs nombreuses progénitures d'accéder à la connaissance, à la culture, à l'ouverture d'esprit.

Ce sont ces gens qui fournissent le gros du contingent des familles n'envoyant plus leurs enfants à l'école. Elles détournent le droit d'enseigner les enfants à la maison pour les livrer aux imams qui, eux non plus, n'usent pas du français, du néerlandais ou de l'allemand ! Et quand ces enfants privés d'école, recalés par les épreuves de contrôle de connaissance, aboutissent dans un établissement officiel, ils font baisser la qualité de l'enseignement pour toute la classe. La preuve en est donnée par les chiffres PISA (Program for International Student Assessment — observatoire des connaissances des étudiants), qui montrent les mauvaises performances de nos élèves, tant en lecture qu'en maîtrise des langues, en sciences et en mathématique.

Ce qui a des conséquences sur l'emploi nous sommes obligés de faire appel à de jeunes informaticiens indiens, hautement qualifiés, pour faire tourner les secteurs informatiques de nos entreprises. Ils sont actuellement 3.110 en Belgique ! Quelle honte pour notre enseignement désormais incapable de former des informaticiens, à l'heure où la presse belge prétend trouver un nouveau souffle dans le numérique.

Et beaucoup plus préoccupant : alors que les socialistes Marcourt et Demotte continuent à nous faire croire que l'industrie lourde a un avenir en Europe, nous ne trouvons même plus des jeunes suffisamment formés, capables de remplir les tâches essentielles de ces secteurs ! Et à la formation aux métiers d'avenir, on préfère perdre son énergie dans des discussions sur le voile, l'acceptation des "différences", la nécessité "d'accompagner" les chérubins partis en Syrie se former à la guérilla urbaine. Alors qu'il suffirait d'imposer un principe très simple de la laïcité: la religion hors de l'école officielle. Et certainement l'islam, dont preuve est faite depuis 15 siècles qu'il n'apporte qu'aveuglement, violence, obscurantisme et malheur pour ceux qui ne veulent pas y adhérer.


Ubu-Pan - 05 septembre 2013